Mardi, 1er février 2011 à 22 : 18

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Ce soir, je suis allée écouter Alexandre Jardin pour la seconde fois.

La première, c'était il y a presque deux ans, il racontait l'amour, l'amour vu avec ses yeux de "grande personne"; là où grande personne ne veut pas non plus dire adulte. C'était sérieux, sérieux parce qu'on ne badine pas avec l'amour... C'était sérieux, oui, mais c'était aussi léger.

Ce soir, c'était tout autre chose, et derrière son regard, par ailleurs toujours aussi grand, se cachait quelque chose de l'ordre du soulagement, du soulagement blessé, celui-là même pour lequel on soupire les sourcils froncés.
Je me suis glissée dans la file pour lui dire un mot, lui faire signer son ouvrage bien sûr, et pour lui confier quelques sentiments. En attendant mon tour, j'ai ouvert une page, au hasard, et je suis tombée sur ce passage.
J'ai confié à Alexandre Jardin que ce sentiment là, ce sentiment précis me prendrait certainement un jour... Que j'y pensais souvent. Et qu'il me faisait peur. Il n'a rien dit, il a souri, s'est penché vers le paragraphe, et puis.

Follement vraie.


Par Auryn. le Samedi, 5 février 2011 à 0 : 46
Je me rends compte que les personnes que j'aime le plus lire sur le net aime Alexandre Jardin comme moi. Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais j'aime cette coincidence <3
Par en-attendant-la-pluie le Lundi, 7 mars 2011 à 21 : 06
Oh mon dieu, j'aimerai tellement le rencontrer ce monsieur Colorié!
 

Et vos semelles de vent?









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