On imagine pas toutes les petites fins du monde qui peuvent émaner de moi, tous ces déchirements, ces tempêtes de sentiments. On n'imagine qu'un tel désespoir puisse jaillir de ma gorge, se poser sur mes toutes petites épaules et rester là, taper des pieds, taper des poings, taper du coeur. On ne m'imagine pas livrer mes sens à la providence, manquer de perdre la raison et finalement l'offrir sans détour à qui voudra bien la prendre comme elle est. On imagine pas toutes les petites fins du monde qui peuvent émaner de moi, tous ces déchirements, ces tempêtes de sentiments.
Lundi, 7 février 2011 à 21 : 18
Et vos semelles de vent?
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