I've sung every morning since i met you
Boîte à (vos) Mots.
To Hide,
C'est l'histoire de ma vie qui a croisé la tienne, c'est l'histoire de nos nerfs en crise, de deux malades qui n'ont que l'amour pour moteur, la rage de rester haut. C'est l'histoire de deux têtes capables de se saborder pour que l'autre ne meurs pas. C'est l'histoire du sillon creusé depuis cette rencontre-là, le long duquel poussent les fées et les fleurs. C'est l'histoire d'un prunier à déraciner parce qu'il s'est fichu au milieu, et les fleurs n'ont plus d'eau. Il faut l'abattre, en faire du bois, le bois de notre croix et celui de nos feux. Tu ne mourras pas. Je t'aime. (C. Castillon)Secret(s)
Par METRO.GALAXY le Samedi, 4 septembre 2010 à 2 : 18
Je suis folle de cette endroit. Il y a plein de mots tellement beau. Je reviendrais, promis.
Par Clavicule le Dimanche, 5 septembre 2010 à 19 : 50
Un million de sourires et tout ce que tu veux pour ton dernier petit mot sur ma clavicule, ça m'a fait boumboum quand je l'ai lu, un peu.
(j'ai bien essayé de tout frotter)
(j'ai bien essayé de tout frotter)
Par monochrome.dream le Mercredi, 8 septembre 2010 à 21 : 18
J'ai reçu tes trois tentatives de commentaire pour la photo (je ne comprends pas ce qu'il se passe avec mon blog, tout le monde a des soucis pour le commenter en ce moment !).
Et si je te laisse mon mot de remerciement sous cet article et non en tag, c'est à cause de mon incapacité à commenter ce texte : il me trouble, me touche, me retourne, mais je ne saurais dire ni comment, ni pourquoi, ni en quoi.
Alors comme ça, ça m'aura permis de te le glisser quand même.
Et si je te laisse mon mot de remerciement sous cet article et non en tag, c'est à cause de mon incapacité à commenter ce texte : il me trouble, me touche, me retourne, mais je ne saurais dire ni comment, ni pourquoi, ni en quoi.
Alors comme ça, ça m'aura permis de te le glisser quand même.
Et vos semelles de vent?
La discussion continue ailleurs...
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