J'avais tellement peur de ne pas être à la hauteur. De marcher la tête baissée, de trébucher sur mes manches trop longues, de jouer à cache-cache-chagrin, d'appréhender chacune de vos réactions, chacun de vos regards croisant le mien. Ce soir, mon miroir aux bords dorés abdique, il rend les armes, il vous tend la raison : c'est vous, vous que je crois. C'est si doux de m'apercevoir à travers vos yeux. Après c'est mon tour, d'accord?
Vendredi, 28 août 2009 à 22 : 26
Et vos semelles de vent?
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